La faune dans la Lande

Qui nous dérange quand nous flirtons ?

La grue ( l’animal ) (fig. 2) ne sait pas lire et ne sait pas où s’arrête la réserve naturelle. Pour l’accouplement, elle a besoin d’un environnement très spécial et calme. Elle préfère les prairies de la vallée de l’Ise, juste en dehors de la réserve naturelle de la Grande Lande. C’est là qu’elle lance des vols de parade à couper le souffle, contre lesquels les rotations et les chutes d’un cerf-volant acrobatique semblent pâles. Sans cette grande performance acrobatique, il n’est pas possible d’obtenir un accouplement. Presque à l’apogée de son spectacle féminin, un quad râle le long des prés. Effarées, les grues s’enfuient. La belle démonstration est terminée.

La grenouille  des marais (fig. 3) est trop lente pour traverser les routes. Elles sont rares à Platendorf, à l’ouest de Dorfstrasse. Dans la  Grande Lande et à Neudorf, c’est-à-dire à l’est de Dorfstrasse, on peut même les voir dans les étangs de jardin.

Il existe différents types (figures 4, 5 et 6) qui sont adaptées à la vie dans les marais.

D’autres animaux sont moins populaires. Il s’agit notamment des araignées (fig. 7), des taons (fig. 8) et de la vipère (figure 9). La couleuvre à collier(fig. 10) est totalement inoffensive  et facile à reconnaitre par les tâches jaunes derrière la tête.

La Leucorrhine à gros thorax (Leucorrhinia pectoralis) est le symbole de notre piste cyclable Grande Tourbe.

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